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mais Maman, ce n'est pas grâve si je ne suis pas toujours sage, car je suis toujours beau...

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Date de création : 30.03.2010
Dernière mise à jour : 17.12.2012
410 articles


Merci Mamie-Granny Toinette...

Publié le 03/11/2010 à 18:42 par loevanerell
Kdo pour loevanerell
Publié le 03/11/2010 à 18:07 par toimichel Tags : blog enfants
Kdo pour loevanerell

 

 

Félicitations mes petits-enfants pour vos 11000 visites. Votre blog est très beau. Compliments à Maman Véro qui vous aide à le faire.....

Gros breizhous de votre Mamie Toinette...

Coucou, c'est nous...

Publié le 02/11/2010 à 11:29 par loevanerell
Coucou, c'est nous...

Coucou, on est de retour, avec une belle histoire... pour petits et grands, qui fait suite à la Toussaint...

 

 

 

 

 

 

L' Ange...

 

« Chaque fois qu’un bon enfant meurt, un ange de Dieu descend sur la terre, prend l’enfant mort dans ses bras, ouvre ses larges ailes, parcourt tous les lieux que l’enfant a aimés, et cueille une poignée de fleurs. Ces fleurs, tous deux les portent au bon Dieu pour qu’il les fasse refleurir là-haut plus belles que sur la terre. Le bon Dieu presse les fleurs sur son cœur, et, celle qu’il préfère, il y dépose un baiser. Ce baiser lui donne une voix et la fait se mêler aux chœurs des bienheureux. » Voilà ce que racontait un ange de Dieu en emportant un enfant mort au ciel, et l’enfant l’écoutait comme en rêve. Et ils volaient au-dessus des lieux où le petit avait joué, sur des jardins parsemés de fleurs admirables. « Lesquelles emporterons-nous pour les planter au ciel ? » demanda l’ange. Près d’eux se trouvait un rosier magnifique, mais une méchante main en avait brisé la tige de sorte que les branches chargées de boutons à peine éclos pendaient et se desséchaient de tous côtés. « Pauvre arbre, dit l’enfant ; prends-le pour qu’il refleurisse là-haut près de Dieu. » Et l’ange prit le rosier. Il embrassa l’enfant ; le petit ouvrit ses yeux à moitié. Ils cueillirent partout de riches fleurs, sans mépriser la dent-de-lion si souvent dédaignée, ni la pensée sauvage. « Nous avons assez de fleurs maintenant, » dit l’enfant et l’ange fit un signe d’assentiment, mais ils ne volèrent pas encore vers Dieu. Déjà il faisait nuit, partout régnait un profond silence ; ils passaient au-dessus d’une petite rue sombre et étroite, remplie d’un amas de vieille paille, de cendres et de balayures. C’était le jour des déménagements ; toutes ces assiettes brisées, tous ces morceaux de statues en plâtre, tous ces haillons offraient un aspect peu agréable. Et l’ange montra à l’enfant, au milieu de ces débris, quelques fragments d’un pot de fleurs ; une motte de terre s’en était détachée, à laquelle tenaient encore les racines d’une grande fleur des champs fanée et jetée au rebut. « Emportons-la, dit l’ange ; en nous envolant je te dirai pourquoi. » Ils s’élevèrent dans l’air, et l’ange fit ce récit : « Là-bas, dans cette rue sombre, dans une espèce de cave, demeurait un pauvre petit garçon malade. Dès sa plus tendre enfance, il était alité. Parfois, lorsqu’il se sentait mieux, il faisait le tour de la chambre à l’aide de béquilles, et c’était tout. En été, les rayons du soleil venaient de temps en temps éclairer cette misérable demeure, et alors le petit garçon se réchauffait au soleil regardait le sang rouge circuler dans ses doigts délicats et diaphanes en disant : « Aujourd’hui, Dieu merci, j’ai pu sortir. » Il ne connaissait la magnifique verdure de la forêt que par une branche de hêtre que le fils du voisin lui avait apportée. Il tenait cette branche au-dessus de sa tête, et il lui semblait ainsi se reposer sous les grands arbres, ayant le soleil en perspective, et pour musique le chant délicieux de mille petits oiseaux. Un jour de printemps, le fils du voisin lui apporta aussi quelques fleurs des champs, dont l’une, par hasard, avait encore ses racines. Elle fut plantée dans un pot, et placée sur la fenêtre, près du lit. Plantée par une main heureuse, elle poussa des rejetons, et produisit chaque année de nouvelles fleurs. C’était le jardin de l’enfant malade, son seul trésor sur cette terre ; il l’arrosait, la cultivait avec soin, et la plaçait toujours de manière à ce qu’elle ne perdît pas un des rayons de soleil qui pénétraient à travers la lucarne. Aussi la fleur se développait et s’embellissait avec ses rêves ; elle fleurissait pour lui, pour lui elle répandait son parfum et prenait des airs coquets. Lorsque le bon Dieu rappela l’enfant à lui, il s’inclina vers elle avant de mourir. II y a maintenant une année que l’enfant est chez Dieu, et il y a une année que la fleur est restée oubliée sur la fenêtre et s’est desséchée. Le jour du déménagement, on l’a jetée parmi les immondices de la rue, et c’est cette pauvre fleur fanée que nous avons recueillie dans notre bouquet, car elle a causé plus de joie que la plus riche fleur du jardin d’une reine. —Mais comment sais-tu tout cela ? demanda l’enfant. — Je le sais, répondit l’ange, parce que j’étais moi-même ce petit garçon malade qui marchait avec des béquilles. Je reconnais bien ma fleur. » Et l’enfant, ouvrant tout à fait les yeux, regarda le visage éclatant et superbe de l’ange. Au même instant, ils entrèrent dans le ciel du Seigneur, où la joie et la félicité sont éternelles. Lorsque le bon Dieu eut pressé l’enfant mort sur son cœur, il poussa des ailes à l’enfant comme à l’autre ange, et se tenant par la main, tous deux s’envolèrent ensemble. Le bon Dieu serra aussi sur son cœur toutes les fleurs, mais il donna un baiser à la pauvre fleur des champs fanée, et aussitôt elle fut douée de la voix et chanta avec les anges qui flottent autour du Seigneur, formant des cercles jusqu’à l’infini, et tous également heureux. Oui, ils chantaient tous, grands et petits, le bon enfant béni, et la pauvre fleur des champs qui avait été jetée toute fanée parmi les ordures, dans la ruelle sombre et étroite....  

 

 

 

 

(histoire trouvé sur le net)

 

 

 

Bonne journée les p'tits-loups... et gros bisous...

 

Blog en pause...

Publié le 24/10/2010 à 00:34 par loevanerell

encore un mot sur Halloween...

Publié le 23/10/2010 à 14:58 par loevanerell

aller encore un petit mot sur Halloween... car il faut en savoir toujours plus... hihihihihi...

Légende du mercredi...

 

Un petit mot sur les origines d’Halloween…

 

 

 

 

C’était autrefois une fête religieuse. Halloween, mot anglais, est l’abréviation de All Hallow’s Eve, c’est à dire < La veille avant la Toussaint > (Hallow venant de Holy :saint). Elle a pourtant une source païenne : une ancienne fête celte en l’honneur du Samhain, dieu de la mort et une fête romaine en l’honneur de la déesse des fruits et des arbres Pomona. Les couleurs d’ Halloween, noir et orange, combinent les deux idées : mort et moisson.

L’ habitude de se déguiser en fantômes vient des Celtes qui, autour du feu allumé par les druides pour guider les esprits, s’habillaient d’ horribles et effrayants vêtements de façon à ce que les démons les prennent pour d’autres démons et ne leur fassent pas de mal. On prétendait qu’à cette soirée les fantômes sortaient de leurs tombeaux et que les sorcières chevauchaient à travers les airs des balais ou des chats noirs.

La citrouille creusée en lanterne vient aussi des Celtes. Les Anglais et Irlandais creusaient les betteraves, les pommes de terre et les navets pour faire des lanternes d’Halloween. Cette coutume a gagné les États - Unis, où l’on a utilisé alors les citrouilles. On raconte qu’un Irlandais répondant au nom de Jack ne pouvait aller au ciel, après sa mort, parce qu’il avait été trop avare. Il ne pouvait pas non plus aller en enfer, car il avait fait de mauvaises plaisanteries au diable. Il fut donc condamné à errer tout autour de la terre avec sa lanterne ( à qui il donna son nom ).

En Angleterre, Halloween était autrefois appelé « la nuit du casse-noisettes » ou la nuit de la pomme croquante ». Les familles réunies autour du feu racontaient des histoires tout en mangeant des noisettes et des pommes. Ce jour-là, les pauvres recevaient des gâteaux appelés « les gâteaux de l’esprit ».

Aujourd’hui, Halloween est essentiellement la fête des enfants. Ils se déguisent, encore en diables, fantômes, sorcières, vampires, et squelettes, etc. Les maisons sont décorées aux fenêtres et aux portes, toujours en rapport avec la coutume, de chauves-souris, chats noirs, hiboux, sorcières, mais surtout de potirons sous toutes ses formes. Les enfants, en groupe, vont de portes en portes, réclamant bonbons et friandises. Et gare à celui qui refuse… Les bons petits diables se vengeront avec toutes sortes se plaisanteries comme savonner les fenêtres, écrire sur les murs, retourner les poubelles, tirer les sonnettes, etc.

Dans les grandes villes, où l’on se connaît guère entres voisins, on a plutôt coutume de faire des réunions familiales ou amicales, alors que des feux de joie, des défilés costumés et des danses sont organisés.

Halloween est beaucoup plus célébré aux États-Unis qu’en Grande-Bretagne.

 

 

 

pour nous c'est la pause, car ce sont les vacances, et on va en profiter car notre Mamie, vient chez nous...

d'ailleurs nous ferons halloween, avec notre mamie...

et pour vous , voilà quelques petits conseils, car on est jamais trop prudent dans la vie...

 

Car par les temps qui courent, la sécurité est indispensable, même pour les fêtes, donc voilà quelques conseils pour ta soirée d’Halloween…

 

Ne cours jamais l'Halloween seul, vas-y plutôt avec tes parents ou en groupe.

Porte des vêtements de couleurs clair, des réflecteurs ou tout autre chose brillant dans l'obscurité afin d'être bien vue.

N'entre jamais dans la maison de quelqu'un que tu ne connais pas.

Assure-toi d'avoir une bonne vision avec ton masque.

Habille-toi selon les conditions de la température.

Ne mange aucune friandises avant que tes parents ne les aient vérifiées.

Sois respectueux de la propriété des autres.

Sois donc gentil et poli, dis "S'il vous plait" et "Merci!"…

 

 

 

alors on vous dit à plus tard

 

 

 

gros bisous et bon Halloween...

les p'tits-loups...

 

Histoire de Maman, pour nous... et vous...

Publié le 22/10/2010 à 15:16 par loevanerell
Histoire de Maman, pour nous... et vous...
Coucou, c'est nous aujourd'hui, on est heureux de vous faire découvrir une petite histoire d'Halloween, que maman a écrite pour nous, et pour vous...
JUSTINE LA CITROUILLE...

Au matin d’Halloween,
La citrouille Justine
Est bien secrète
Elle n’est pas en fête…
Elle vient de passer
Toute une année à engraisser
Pour le plaisir gustatif des enfants
Qui hélas pour l’instant l’ignorent complètement…

Assise sur ses énormes fesses
La citrouille Justine stresse,
Au grand concours de la plus grosse citrouille
Tout le monde en a la trouille
Car à en dire ses voisines
C’est de graisse, qu’elle dégouline…
Elle ne voulait être grosse que de régal
En la voyant pour l’instant tout le monde détale…

Mais pour quoi ont-il peur de moi
Se dit Justine,
Moi qui ne cherche qu’un toit
Pour qu’au grand soir d’Halloween
De mon ventre creusée, j’illumine
Un chaleureux foyer
Ou petits et grands auront préparé
Avec ma chaire, soupes et purées,
Qu’ils dégusteront
Avec gourmandise et passion…
Au diable la couronne et ce fichu concours
Je veux juste être bonne même cuite au four…
Si dans l’assiette je ne peux être la reine,
alors à ce concours, pourquoi je traîne…
Et… finalement ..
Comme dans toutes les histoires pour enfants,
Tout est bien
Qui fini bien,

C’est par un beau soir d’Halloween, que Justine a retrouvé le sourire,
Car entourée de rires, elle trône toute illuminée au milieu,
d’une grande table joyeuse,
Ou une ribambelle d’enfants tous déguisés,
Plongent cuillères et fourchettes dans sa jolie chair dorée
Qu’une cuisinière avertie, avait pris grand soin de préparer…
Cernée de friandises, de gourmandises, la citrouille Justine irradie…
Un vrai Halloween comme elle en avait tant rêvé, toute sa vie…

 

 



Voilà c’est fini…

bonne journée les z'amis

et gros bisous les p'tits-loups...

Jeudi... petite histoire...

Publié le 21/10/2010 à 09:54 par loevanerell

Bonjour bonjour, nous voilà aujourd'hui avec une belle histoire de princesse, de sorcier, et d'amour, car ce qui compte le plus dans la vie, c'est bien l'amour n'est ce pas...

 

 

La soupe à la Princesse...

 

 

Il était une fois dans la vallée des sorciers, un grand sorcier qui rêvait d'être le plus grand sorcier du monde entier. Depuis bien des années, il cherchait une formule miraculeuse dans tous les grimoires. Un beau jour, en cherchant dans son énorme grimoire, il la trouva enfin... " Par bouillie de crapaud et jus de chaussette, je l'ai enfin trouvée !! Hourra ! " cria-t-il fou de joie. Il lut la formule attentivement, il était écrit : "Voulez-vous être le plus grand sorcier du monde ? Je parie que oui ! Voici la recette :
Il faut, 2 corbeaux, 2 rats crevés; 4 champignons vénéneux, 3 dents de dragon et en complément, une princesse moche, mais alors vraiment très laide. Il faut qu'elle ait au plus 2 dents, des verrues plein le corps, une haleine qui sent le caca de cochon et des pieds qui sentent le vomi. En plus, elle doit avoir un corps tout ridé, être chauve et avoir des poils sur le menton. Voilà la formule." " Super ! J'ai tous les ingrédients sauf évidemment la princesse moche. En plus, je ne sais même pas s'il en existe une seule. Bon, on va quand même essayer d'en trouver une !" s'encouragea le sorcier. Puis il partit à la recherche de son fameux ingrédient... Deux ans passèrent, puis trois ans.... mais attention, pas quatre. Vous allez comprendre ! Un jour, le sorcier passait à Rome. Là, il vit une énorme pancarte qui était affichée. Il lut :


Moi, le grand suprême roi
Cornichon Hulip,
je vous propose la main de ma fille
Cunégonde Cornichon.
Peut-être êtes-vous choqués par la photo,
mais en plus
j'offre une somme exceptionnelle
200 000 000 000 F Merci de votre compréhension.
Roi Hulip Cornichon
4, rue Crotte de Nez
ROME / Italie… En voyant la photo, bien sur le sorcier sauta de joie et s'y rendit tout de suite. Arrivé au château, il fit la révérence au roi et lui dit :
- Sire, voulez-vous me donner la main de mon dernier ingrédient ? Euh.... Oh pardon ! La main de votre fille ?
- Qui êtes-vous donc cher ami ? demanda le roi surpris.
- Oh j'oubliais, je suis un grand sorcier qui veut devenir très puissant, heu pardon, plus normal si j'épouse votre fille ! J'aime beaucoup les filles très laides, surtout si elles sont princesses. Je la rendrai heureuse, vous savez ! Bien qu'il trouva ces propos un peu louches, le Roi n'allait pas laisser passer une telle aubaine. Il appela donc ses laquais : " Serviteurs, cherchez ma fille, elle est dans sa chambre ! " Ceux-ci, mécontents marmonnèrent : " C'est un cauchemar de chercher sa fille ! Son odeur est trop insupportable ! " Un quart d'heure plus tard, suivie d'une nuée de mouches, la princesse Cunégonde Cornichon arriva toute excitée.
Le sorcier en la voyant, pensa que c'était la chance de sa vie : en effet,
elle n'avait plus que deux dents et des verrues plein le corps. Par contre, elle n'avait pas de poils sur le menton. Le sorcier marmonna à lui-même : " Et puis zut, je la prends quand même pour ma soupe ".
- Qu'est ce que c'est que cette histoire de soupe ? demanda le roi.
- Euh, j'avais eu l'idée de faire une énorme soupe, euh pour notre mariage avec votre délicieuse fille, mentit le sorcier.
- Ah bon ! dit le roi en haussant les épaules. Eh bien mon cher ami, quand voulez-vous célébrer les noces ?
- Le mariage ? !.....Ah oui, le mariage,, bien sûr, euh... demain à l'aube, dit le sorcier.
- Oh oui, quel bonheur ! siffla la princesse entre ses 2 dents.
Et en plus, elle zozote pensa le sorcier, ça n'y fera rien.

Le lendemain, le mariage fut célébré en grande pompe sous les rires de la population incrédule. Les festivités terminées, le sorcier ramena son précieux ingrédient chez lui.
Le lendemain, il lui proposa de prendre un bain. La princesse lui répondit :
- Moi fe feux bien, mais fa va afimer mon odeur.
- Mais non, je t'aimerai toujours autant mon ingréd... euh, ... ma chérie et en plus j'ai quelques produits pour ce problème.
- Alors, f'est v'accord ! dit-elle d'un grand sourire qui fit peur au chat du sorcier. C'est ainsi que, tout heureux, il mit tous les ingrédients dans la marmite.
La princesse lui demanda :
- Fourquoi tu mets tous fes infrédients dans ta marmife ?
- C'est pour que tu gardes ton odeur ma chérie.
- Ah bon ? s'étonna la princesse.
Le sorcier fit chauffer sa marmite à grand feu, puis il appela son ingrédient complémentaire.
- Ma puanteur, ton bain es prêt ! cria le sorcier.
- F'arrive mon bien-faimé ! …
La princesse se glissa dans la marmite et tout d'un coup il y eut une énorme explosion accompagnée d'un épais nuage de fumée.
Devinez qui en sortit... ?
Une princesse, mais pas n'importe laquelle ! Elle était magnifique, avec de beaux cheveux blonds agrémentés de quelques mèches brunes. Un magnifique sourire et de beaux yeux pétillants illuminaient son visage. Le sorcier n'en revenait pas. Ses yeux sortaient des orbites et sa bouche grande ouverte lui donnait un air ahuri.
- Mais, Mais qui... qui êtes-vous ? balbutia-t-il d'une voix incrédule ou
l'on sentait malgré tout poindre une certaine admiration.
- Je suis la fée de cette forêt ! répondit elle avec un ton énigmatique. Un sourire charmeur restait pendu à ses lèvres et laissait le pauvre sorcier sans réaction. Après un silence, elle ajouta d'un ton mystérieux :
- Beau sorcier, es-tu d'accord de rester avec moi pour la vie ? Cette question inattendue eut pour effet de sortir le sorcier de son état de choc.
- Mais... je ne vous connais pas ! Et en plus je vais vous dire, je suis déjà marié avec l'horrible princesse Cornichon. Au fait, vous la connaissez ? interrogea le sorcier avec un sourire un peu moqueur.
- Oui, et je la connais même très bien.
- Ah bon ? s'étonna-t-il. Tout à coup, il réalisa qu'il avait en face de lui la Princesse qui avait été certainement transformée par sa potion. " Vous êtes Cunégonde ? prononça-t-il d'une voix mal assurée. "
- Eh oui ! s'exclama-t-elle en riant. En fait, je crois que vous avez mal lu votre recette et grâce à vous, je suis devenue belle. Tout ce dont je rêvais, dit Cunégonde. En plus, vous vouliez me rester fidèle sans m'avoir reconnue. Je ne vous en aime que plus !
Le sorcier n'avoua pas le vilain sort qu'il lui réservait encore une heure plus tôt. Il était trop heureux qu'une femme aussi belle accepte de rester avec lui comme épouse ! Il se jeta dans ses bras et ils dansèrent de joie une bonne partie de la nuit. Finalement, ils annoncèrent la nouvelle au monde entier, vécurent heureux et eurent beaucoup de petits sorciers et de petites princesses...  

 

voilà c'est fini, cet histoire a été trouvée sur le net...

 

 

Les images mangas, aussi...

 

 

gros gros bisous les p'tits-loups et bon jeudi...

 

histoire du mercredi...

Publié le 20/10/2010 à 14:35 par loevanerell
histoire du mercredi...

coucou, c'est nous avec encore une super histoire de circonstance, à l'approche d'halloween, sur une sorcière...

 

 

bonne visite... et bonne lecture...

 

 

La sorcière…

 

Il était une fois une terrible sorcière. Elle était non seulement affreusement moche mais aussi terriblement méchante.
Elle vivait cachée au fond des bois, car elle avait un grand nez crochu et des ongles en forme de griffes. Les gens en la voyant, devinaient que c'était une sorcière.
Mais le soir d'Halloween, comme tout le monde était déguisé, elle en profitait pour venir en ville. Le matin du 31 octobre, elle avait allumé un grand feu et préparait une potion pour donner aux enfants un sortilège de cancrelise. Elle y trempait des bonbons et des friandises. Si un enfant mangeait ces bonbons, il ne pouvait plus rien apprendre pendant un an et avait de très mauvaises notes à l'école. Il se faisait gronder par ses parents, était tout le temps puni et devenait très malheureux. Et cela faisait terriblement plaisir à la sorcière. Ce matin, non loin de là, un frère et une sœur se préparaient pour aller à l'école en pensant aux déguisements qu'ils avaient préparés.
Daniel avait sept ans et sa sœur Fanny, dix. Lui était blond comme les blés, et elle avait les cheveux d'un noir de jais avec de grands yeux noisette.
- En quoi te déguises-tu, demanda Fanny à son frère Daniel ?
- En vampire, et toi ?
- En momie, ça va être terrible !
Et ils se mirent à parler de ce qu'ils allaient faire, de leurs déguisements,... si bien qu'ils ne virent pas l'heure passer. C'est le bruit du bus de l'école qui les avertit de leur retard.
- Vite, dit Fanny, mais c'était trop tard, ils avaient raté le bus.
- Oh oh, on va se faire...
- Oui ! encore pire, on va être privés d'Halloween.
- Si on coupe à travers bois, on a peut-être le temps d'arriver avant la sonnerie de l'école. Allons-y !
Après avoir pris leurs cartables, il se mirent à courir dans le bois, car le bus faisait un long détour pour aller chercher tous les enfants. En arrivant au milieu du bois, Fanny vit une grosse fumée noire. C'était la fumée que dégageait la potion en cuisant. Heureusement, la sorcière venait de sortir pour aller chercher des ingrédients. Fanny dit à Daniel :
- Tu crois que c'est un incendie ?
- Je ne sais pas, mais on va voir au cas où...
- Oui, tu as raison, comme ça si on arrive en retard, on aura une bonne excuse.
- Peut-être qu'on devrait s'éloigner du danger et aller prévenir les pompiers ?
- Ici c'est moi la grande et c'est moi qui commande, Allons-y !
Ils arrivèrent devant la maisonnette de la sorcière. Voyant que la fumée venait de l'intérieur, ils entrèrent. La fumée emplissait toute la pièce et ils ne voyaient rien. En tâtonnant dans le noir, Daniel, sans le faire exprès, renversa le chaudron. La fumée s'arrêta. Voyant ce que Daniel avait fait, Fanny fut catastrophée.
- Regarde ! La personne qui habite ici va s'en apercevoir. Elle ira voir la directrice de l'école qui le dira à nos parents et on sera privé d'Halloween, c'est sûr !
- On va vite nettoyer et lui refaire sa soupe toute pourrie, dit Daniel.
Pendant que Daniel épongeait par terre, Fanny prenait des ingrédients au hasard, et les jetait dans le chaudron.
En cinq minutes, c'était fait, la fumée recommençait de plus belle.
- La personne qui habite là, ne s'apercevra de rien, dit Fanny.
Une fois la bêtise réparée, ils repartirent très vite, arrivèrent un peu en retard à l'école, mais pas suffisamment pour être punis. En rentrant chez elle, la sorcière ne s'aperçut de rien. Elle continua sa potion et y trempa les bonbons. Le soir d'Halloween, elle en donna aux enfants. Mais avec les ingrédients qu'avaient mis Fanny, le sortilège avait changé. Le sort de cancrelise était devenu un sort d'excellissime. Tous les enfants qui mangeaient les friandises de la sorcière eurent 20/20 toute l'année, même ceux qui ne faisaient pas leurs devoirs. Mais attention ! Cette année, la sorcière reviendra, alors n'acceptez pas les friandises données par n'importe qui !...  

 

 

elle est sympa notre histoire...

 

bon mercredi...

 

les p'tits-loups...

 

 

bisous bisous...

Un mardi Vampirique... hihihihihi...

Publié le 19/10/2010 à 13:21 par loevanerell
Un mardi Vampirique... hihihihihi...

Boo, boo, boo, c'est nous les vampires Loêvan et Erell, avec une petite histoire de !!! ... Vampires...

 

 

Vampires

(petite histoire trouvée sur le net)…

 

 

 

C'est quand même barbant tous les soirs à la même heure d'entendre les parents nous dire : "C'est l'heure d'aller se coucher" ou encore : "Allez ! au lit et que ça saute !!!" et tout ça sous prétexte que "demain il faut être en forme pour aller à l'école ; les enfants ont besoin d'être en forme pour grandir".
J'y croyais vraiment, jusqu'à ce jour ou plutôt, jusqu'à cette nuit là.

Je viens de me réveiller en sursaut car dans mon rêve j'entendais un horrible hurlement lugubre. Le genre de hurlement qui fait trembler même les grandes personnes. Si bien que je suis terrifié.

- Maman, Papa, j'ai peur !!!
Pas de réponse. Je sors de mon lit ; sous mes pieds le sol est glacial. Je descends l'escalier dans le noir en me guidant avec la rampe jusqu'à la chambre de Maman et Papa. J'ouvre la porte en commençant à pleurer pour bien montrer aux parents que je ne les dérange pas pour rien et que j'ai vraiment peur.

A peine la porte ouverte, un terrible courant d'air froid me fait trembler. Dans la chambre, le lit des parents est vide, la fenêtre grande ouverte !!! Que ce passe-t-il ? Toujours grelottant je m'approche de la fenêtre. Dehors il n'y a rien sinon deux chauves-souris. J'ai trop peur... Je remonte en courant vers ma chambre.

A peine arrivé à la moitié de l'escalier, j'entends Maman qui m'appelle. Je me retourne, Ouf !!! elle est là, en bas de l'escalier. N'y tenant plus je me précipite dans ses bras en essayant, entre mes sanglots, de lui expliquer la grosse frayeur que je viens d'avoir.
- Calme toi, dit-elle en m'embrassant, ce n'est rien, tu as du faire un mauvais rêve. C'est fini, calme toi.

Le lendemain matin au petit déjeuner tout est redevenu normal, le chocolat est fumant sur la table avec les tartines grillées et la confiture de framboise que je préfère. Pourtant sur le chemin de l'école, en repensant au cauchemar de cette nuit, j'ai soudain un doute. Hier soir, Maman elle était tout habillée !!! En plein milieu de la nuit !!!

A l'école, après avoir gagné une super partie de chat-statue, j'ai complètement oublié mes peurs de la nuit. A la cantine comme Halloween approche, le chef cuisinier nous a préparé des tourtes à la citrouille parfumées à l'ail. C'était tellement bon, qu'après le repas je vais le voir pour lui demander la recette. Ca lui fait drôlement plaisir! Il rougit, bafouille et il me griffonne la recette sur un morceau de papier.

Le soir en rentrant à la maison je dis à maman comme le souper était bon et je lui donne la recette. Erreur fatale ! Au début elle me remercie d'une grosse bise sonore sur la joue et une seconde après elle me hurle dessus que l'ail est une cochonnerie et qu'elle et papa ne veulent surtout pas en voir ni même en parler à la maison et que de toute façon je vais à l'école pour travailler et pas pour y faire n'importe quoi.

Et puis en voyant qu'elle me fait de la peine, elle se reprend, "tu comprends, dit-elle, papa est allergique à l'ail c'est pourquoi je me suis fâchée. Pour me faire pardonner ce soir pour le dîner je te prépare un steak bien saignant avec des frites comme tu les aimes".

Cette nuit là je dors comme un ange, au réveil je suis en pleine forme sinon la vague impression d'avoir entendu pendant mon sommeil de drôles de choses. Quand j'arrive à l'école personne ne joue dans la cour, tout le monde ne fait que parler de cette étrange maladie qui fait mourir les animaux des campagnes voisines. Les vaches le soir se portent bien et le matin les fermiers les retrouvent mortes comme vidées de leur sang. Mais la campagne c'est loin d'ici, si tout le monde en parle c'est que la police est venue dans le quartier à cause d'un chien mort dans les mêmes conditions.

Cette nuit je me suis réveillé de nouveau à cause de ce hurlement déchirant, en bas j'entends un bruit bizarre. Silencieusement, je vais sur le palier et du haut de l'escalier je regarde en bas. Il y a papa et maman, ils ont l'air très fatigué. Papa sous sont bras porte un paquet bizarre qui ressemble à une peluche.

- Je les appelle : "Papa, Maman ?"
- Qu'est-ce que tu fait là ? veux-tu aller te coucher ! m'ordonne papa l'air embêté...
Je retourne dans ma chambre me coucher. Dans mon lit je n'arrive pas à m'endormir, je me pose trop de questions. C'était quoi cette peluche c'est pourtant pas mon anniversaire et puis les peluches je n'ai plus l'âge !

C'est décidé je veux savoir. Je descends l'escalier sur la pointe des pieds et m'approche de la porte de la chambre de papa et maman sans faire aucun bruit. Je me penche pour regarder par le trou de la serrure. Et là ! (qu'en j'y pense j'en tremble encore) je vois une chose horrible : sur le lit des parents il y a deux énormes chauves-souris en train de sucer le sang d'un pauvre chien. Sans le vouloir je laisse échapper un petit cri. Et aussitôt les chauves-souris se transforment en.... Papa et Maman.

J'ai juste le temps de remonter à ma chambre sans me faire voir. Quand papa entrouvre ma porte, je l'entends dire à maman : "tu es sûre que ce n'était pas lui ?"
Moi je fait semblant de dormir ; maman répond : tu vois bien, il dort comme un bébé tu as tort de t'inquiéter.

Les chauves-souris, l'allergie à l'ail, cette étrange maladie, les chiens et la peluche,...
Maintenant j'en suis sûr !!! Mes parents sont des vampires !!!

Et les vôtres ? Est-ce qu'eux aussi, ils insistent tous les soirs pour que vous alliez au lit ?...

 

 

 

 

 

hihihihihi, on vous a fait peur hein!!!

 

gros bisous les p'tits-loups et bon mardi...

hihihihihihi...

 

contines du lundi...

Publié le 18/10/2010 à 11:17 par loevanerell

comme il fait bon rester au lit le lundi matin, voilà des petites chansons sur les lits... hihihihi...

  

  

Bon Lundi les z'amis...

  

  

Dans mon petit lit

Dans mon petit lit,
Comme un petit nid
Il y a une couette,
En plumes de poulette
Il y a un coussin,
En plumes de poussin
Et un édredon,
En plumes de pigeon.

Corinne Albaut

  

    

Je me fais ...

 

  Je me fais un édredon
Avec des rhododendrons.
Je me fais un oreiller
Avec des oeillets.
Et c'est avec des lilas,
Que je fais mon matelas.
Je me couche alors,
Et je dors.

  

 

L'oreiller d'un enfant...
Cher petit oreiller, doux et chaud sous ma tête,
Plein de plume choisie, et blanc, et fait pour moi !
Quand on a peur du vent, des loups, de la tempête,
Cher petit oreiller, que je dors bien sur toi !

Beaucoup, beaucoup d'enfants, pauvres et nus, sans mère,
Sans maison, n'ont jamais d'oreiller pour dormir ;
Ils ont toujours sommeil, ô destinée amère !
Maman ! douce maman ! cela me fait gémir ..
.  
  
et gros bisous... les p'tits-loups...

Merci Mamie-Granny Toinette...

Publié le 17/10/2010 à 12:09 par loevanerell
HALLOWEEN à BRIEC DE L'ODET
Publié le 17/10/2010 à 10:20 par toimichel Tags : 2010 kdo
HALLOWEEN à BRIEC DE L'ODET

 

 

( Kdo pour mes petits lutins )